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Vue d’ensemble des produits réalisés dans le cadre du Canada dans un climat en changement : faire progresser nos connaissances pour agir. Ressources naturelles Canada dirige le processus et compte sur la collaboration d’un vaste partenariat d’experts en la matière ainsi que d’utilisateurs d’évaluations de tous les ordres de gouvernements, d’organisations autochtones, d’universités, de groupes professionnels et non gouvernementaux et du secteur privé. Pour en savoir plus sur le processus d’évaluation, visitez le site adaptation.rncan.gc.ca.
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Carte illustrant les changements observés dans la température annuelle (°C) au Canada entre 1948 et 2016.
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Les différences entre les projections des variables climatiques selon les scénarios d’émissions élevées ou de faibles émissions révèlent deux avenirs potentiels différents pour le Canada. Le scénario d’émissions élevées émissions (RCP8.5) est associé à une augmentation de la température moyenne mondiale d’environ 3,7 °C d’ici la fin du siècle, par rapport à la période de référence 1986–2005, tandis que le scénario de faibles émissions (RCP2.6) est associé à une augmentation de la température moyenne mondiale d’environ 1,0 °C pour la même période.
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Exemples de compromis et d’avantages connexes de mesures lorsqu’il existe des liens entre l’atténuation des changements climatiques et l’adaptation à leurs impacts.
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Les rapports élaborés dans le cadre du processus actuel d’évaluation nationale des connaissances (2016–2022), Le Canada dans un climat en changement : faire progresser nos connaissances pour agir.
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Les actifs et les défis qui affectent la capacité d’adaptation dans les villes et les milieux urbains.
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Le nombre annuel de jours de chaleur extrême prévu pour six villes canadiennes suivant trois scénarios de réchauffement : une température moyenne à la surface du globe de 1,5 °C, 2 °C, et 4 °C audessus des valeurs préindustrielles. Les valeurs sont basées sur des simulations statistiques à échelle réduite de 24 modèles climatiques utilisés pour le CMIP5, avec une section hachée représentant la différence entre les 75e et 25e percentiles, et la section grise indiquant le nombre de jours de chaleur extrême au cours de la période historique de référence (1986–2005). Le seuil de chaleur extrême diffère selon les villes (p. ex. Toronto = 31 °C, Vancouver = 29°C).
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Représentation graphique d’un exemple d’interdépendances entre des systèmes d’infrastructure.
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L’installation d’art public « Watermark » de Gerald Beaulieu, composée d’une série de 11 poteaux en bois de différentes hauteurs le long d’un chemin de promenade au bord de la rivière à Fredericton (Nouveau-Brunswick). Le plus haut poteau – le « poteau de la mémoire » – est encastré dans des feuilles de cuivre qui marquent l’année et le niveau d’eau le plus élevé de la rivière Saint-Jean pendant la crue annuelle. Ce projet est un très bon exemple de collaboration entre les Travaux publics municipaux et le Bureau de la culture.
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Définition des infrastructures vertes.
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La Buttertubs Marsh Conservation Area, qui comprend 55 hectares de terres humides et de plaines inondables réhabilitées, apparaît au centre (« l’aire de gestion ») de cette photo aérienne de Nanaimo, en Colombie-Britannique.
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Un exemple de carte des dangers liés aux inondations pour les municipalités de St. John’s Mount Pearl et Paradise à Terre-Neuve-et-Labrador.
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Carte de l’emplacement des organismes confessionnels, des logements abordables et des occupants en situation de vulnérabilité.
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Carte des villes canadiennes à forte population autochtone.
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Le processus classique de planification de l’adaptation (étapes 1 à 6), auquel des actions habilitantes ont été ajoutées.
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Représentation graphique des auto-évaluations de base effectuées à l’aide de l’Échelle de maturité pour l’adaptation aux changements climatiques de la FCM, fournie par les municipalités qui ont reçu le soutien de la FCM pour des projets d’adaptation locaux. L’échelle de cinq points varie de 1,0 (niveau du concept) à 5,0 (niveau d’amélioration continue), et comprend trois domaines de compétences : 1) politiques; 2) ressources humaines et gouvernance; et 3) capacité technique et de gestion des risques. Ce graphique montre les valeurs moyennes d’auto-évaluation fournies par les petites municipalités (c.àd. moins de 10 000), les municipalités de taille moyenne (c.àd. de 10 000 à 100 000) et les grandes municipalités (c.àd. plus de 100 000) au début de leurs projets d’adaptation.
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Un aperçu des mesures d’adaptation et d’atténuation mises en œuvre grâce à l’amélioration de la rue SaintMaurice à Trois-Rivières, QC.
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Résumé des principaux actifs et défis des collectivités et régions rurales et éloignées en matière d’adaptation aux changements climatiques.
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Le site historique de Fort Conger est en cours de conservation numérique grâce à l’utilisation de la technologie de balayage laser 3D, qui a été utilisée pour créer une reconstruction numérique du site.
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L’application eNuk est un outil de surveillance continue et en temps quasi réel des observations, des configurations et des tendances des conditions climatiques et environnementales et des implications sanitaires associées. L’application permet aux membres de la collectivité de consigner leurs observations sur l’environnement et la santé sous forme de photos, de vidéos, d’enregistrements audio et de descriptions textuelles lors de leurs déplacements ou lorsqu’ils pratiquent la chasse, la pêche et la récolte sur le territoire. L’application comprend des indicateurs de changements environnementaux (p. ex. amincissement de la glace ou tendances météorologiques inhabituelles) et des éléments de santé physique (p. ex. blessures involontaires) et de bien-être (p. ex. sentiments et émotions associés à certaines conditions ou certains lieux) (eNuk, s.d.).
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Carte montrant la dépendance moyenne de la main-d’œuvre des collectivités dans l’ensemble du Canada à l’égard des secteurs des ressources naturelles pour la période allant de 2001 à 2016, notamment l’agriculture, la pêche, la foresterie, l’énergie et l’exploitation minière. Les couleurs sur la carte s’échelonnent du bleu au rouge, où le bleu indique une faible dépendance, principalement dans les grandes régions urbaines et leurs environs, et le rouge indique une forte dépendance, principalement dans les régions rurales et éloignées. La carte montre que les secteurs des ressources naturelles fournissent jusqu’à 50 à 100 % des revenus du secteur économique de base pour de nombreuses collectivités rurales et éloignées dans l’ensemble du Canada. Les secteurs économiques de base comprennent les ressources naturelles (pêche, agriculture, foresterie, minéraux, pétrole et charbon), les services publics, la construction et le secteur manufacturier.
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Graphique illustrant la dépendance moyenne de la main-d’œuvre des collectivités de différentes tailles au Canada à l’égard des secteurs des ressources naturelles, en pourcentage du revenu du secteur économique de base, pour la période allant de 2001 à 2016. Les secteurs économiques de base comprennent les ressources naturelles (pêche, agriculture, foresterie, minéraux, pétrole et charbon), les services publics, la construction et le secteur manufacturier. Les collectivités sont regroupées en fonction de quatre tailles de population différentes : 1) moins de 5 000, 2) de 5 000 à 10 000, 3) de 10 000 à 100 000 et 4) plus de 100 000. Les cases indiquent les valeurs maximales et minimales pour 95 % des données, la ligne continue à l’intérieur de chaque case indique la valeur moyenne et les lignes verticales prolongeant les cases indiquent la plage complète des données. Le graphique montre que la main-d’œuvre des collectivités moins peuplées a tendance à être plus dépendante des secteurs des ressources naturelles que celle des collectivités plus peuplées.
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Graphique illustrant la répartition de la dépendance moyenne de la main-d’œuvre à l’égard des secteurs des ressources naturelles, pour la période allant de 2001 à 2016, pour les collectivités du Canada dont la population varie de 100 à 10 000 000 de personnes. La dépendance de la main-d’œuvre est définie comme le pourcentage du revenu de la main-d’œuvre tiré des ressources naturelles par rapport au revenu total du secteur de base. Les secteurs économiques de base comprennent les ressources naturelles (pêche, agriculture, foresterie, minéraux, pétrole et charbon), les services publics, la construction et le secteur manufacturier. Chaque point du graphique représente une collectivité canadienne différente. La ligne verticale en pointillé illustre le seuil de population utilisé dans ce chapitre pour les collectivités considérées comme étant rurales ou éloignées (p. ex. les collectivités de 10 000 habitants ou moins). Le graphique montre que la main-d’œuvre des collectivités moins peuplées a tendance à être plus dépendante des secteurs des ressources naturelles que celle des collectivités plus peuplées.
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Cartographie des risques d’inondation à Annapolis Royal, Nouvelle-Écosse.
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Les changements climatiques ont des conséquences sur la santé et le bien-être des personnes vivant dans des collectivités rurales et éloignées.
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Résumé des pertes et dommages immatériels liés aux changements climatiques sur l’identité, la continuité culturelle et le sentiment d’appartenance dans les collectivités et régions rurales et éloignées du Canada.
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Au Canada, les principaux phénomènes et tendances récents liés aux ressources en eau ont eu des répercussions importantes sur les collectivités et l’économie.
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Niveaux d’eau records et inondations sur un quai près de Saint Catharines, ON (à gauche), et sur une passerelle près de la Place de l’Ontario à Toronto, ON (à droite).
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Une carte du bassin versant du lac Simcoe, en Ontario.
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Diagramme illustrant le cycle de la gestion adaptative.
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Un aperçu des résultats de la notation ADAPTool (de 1 à 10) pour 27 politiques examinées dans les provinces de la Colombie-Britannique, de la Saskatchewan, du Manitoba et de la Nouvelle-Écosse. L’outil ADAPTool est structuré comme une série de feuilles de calcul Excel qui conduisent les analystes à travers un processus normalisé se déroulant par étapes pour évaluer la capacité des politiques ou programmes existants à soutenir les mesures d’adaptation et l’adaptabilité générale de ces politiques ou programmes mêmes.
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L’étude annuelle de RBC sur les attitudes des Canadiens à l’égard de l’eau, qui demande aux répondants d’indiquer leur degré de préoccupation par rapport à une série d’enjeux, a révélé que les Canadiens et les Canadiennes sont préoccupés par les questions liées à l’eau et aux changements climatiques, mais dans une moindre mesure que par des questions telles que le coût de la vie, la disponibilité des soins de santé et la pauvreté.
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Un sondage national réalisé en 2016 auprès des Canadiens vivant dans des « zones inondables » (telles que définies par le gouvernement du Canada, 2013), élaboré par des chercheurs de l’université de Waterloo, a évalué les perceptions sur la manière dont la responsabilité associée à la protection de leurs biens et au paiement des coûts liés aux dommages causés par les inondations devrait être partagée entre différentes organisations.
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Les bassins versants du fleuve Nelson et de la rivière Churchill.
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Pourcentage de dialogue dans les documents stratégiques et de planification dans l’ensemble du bassin Nelson-Churchill au sujet de quatre instruments stratégiques pour traiter les enjeux relatifs à l’eau. Voir le tableau 4.1 pour des exemples précis.
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Principaux dangers des changements climatiques et risques pour les infrastructures liées à l’eau.
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Organigramme illustrant l’étape 3 du protocole du Comité sur la vulnérabilité de l’ingénierie des infrastructures publiques (CVIIP). L’étape 3 comprend une évaluation de la vulnérabilité afin de déterminer les relations entre les changements climatiques et les impacts sur les infrastructures.
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Carte des 18 écozones terrestres et des 12 écozones marines du Canada.
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Les dix catégories prises en compte dans le nouvel indice de biodiversité et de services écosystémiques mis au point par le Swiss Re Institute, qui permet d’évaluer l’état de la biodiversité et des services écosystémiques à l’échelle nationale ou régionale.
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Carte présentant les indices de biodiversité et de services écosystémiques pour différentes régions du monde.
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Les interdépendances entre les écosystèmes, la biodiversité, les processus biophysiques, les fonctions des écosystèmes, les services écosystémiques et le bien-être humain.
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Résumé visuel de la relation entre l’offre et la demande des services écosystémiques étudiés par Scholes (2016), actuellement (cercles vides) et vers 2050 (cercles pleins), dans le contexte des changements climatiques. La fourchette des résultats possibles autour de l’année 2050 est représentée par une barre horizontale.
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Illustration des boucles de rétroaction positives et négatives liées aux interactions climat-écosystème.
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Exemple de boucle de rétroaction positive, où la migration vers le nord de la végétation forestière en raison du réchauffement climatique réduit l’albédo de la surface terrestre, favorisant ainsi un réchauffement supplémentaire (rétroaction positive climat-écosystème).
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Les changements climatiques ont des impacts dans différentes régions du Canada, dont beaucoup ont des conséquences sur les écosystèmes et sur les services écosystémiques.
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Les impacts des changements climatiques sur le pergélisol et leurs effets en cascade sur la société et l’environnement.
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Carte de l’aire de répartition actuelle observée et de l’aire de répartition future prévue en 2055 pour le pin à écorce blanche (Pinus albicaulis), ainsi que des sites d’essai de l’expérience de migration assistée.
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Impacts des changements de la glace de mer sur les espèces utilisées à des fins alimentaires ou autres (espèces de subsistance).
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Un aîné de Wekweètı̀ apprend à un jeune membre de la collectivité à gratter et tanner des peaux de caribou. Les peaux sont trempées et étirées sur une planche avant d’être grattées à l’aide d’un k’edze, un outil fabriqué à partir de l’os de la patte inférieure d’un caribou.
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Divers vêtements et outils fabriqués à partir de caribou tanné par des artisans de Wekweètı̀.
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Carte du Canada indiquant l’emplacement des aires protégées et de conservation autochtones existantes et projetées (notez que la carte n’est pas complète et que certaines aires sont manquantes ou contestées).
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Cadre utilisé par Raymond et coll. (2017) pour l’évaluation des avantages connexes des approches fondées sur la nature.
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Carte du marais North Onslow à Truro, en Nouvelle-Écosse, illustrant l’étendue de la zone à restaurer en tant que marais côtier.
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Le cadre générique de gestion adaptative des risques pour l’adaptation aux changements climatiques comprend cinq étapes : 1) la sensibilisation, 2) l’évaluation, 3) la planification, 4) la mise en œuvre et 5) le suivi et l’évaluation. Pour faciliter la présentation, toutes les boucles de rétroaction ne sont pas représentées dans la figure (p. ex. entre la planification et la sensibilisation, et entre la planification et l’évaluation).
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Illustration des incertitudes croissantes le long d’une chaîne causale d’impacts qui préconise des connaissances scientifiques. Le niveau d’incertitude augmente au fur et à mesure que l’on se déplace le long de la chaîne d’impact (de gauche à droite), ce qui mène à un niveau élevé d’incertitude dans les estimations des coûts et des avantages à la fin de la chaîne.
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Illustration de l’horizon et séquence des mesures d’adaptation à court, à moyen et à long terme tout au long d’une voie d’adaptation.
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La figure montre les pertes assurées et non assurées annuelles (en dollars canadiens de 2018) dues aux 15 788 phénomènes météorologiques (p. ex. inondations, tempêtes, feux de forêt, chaleur extrême) dans le monde entier qui répondent aux seuils d’inclusion NatCatSERVICE de Munich RE pour les pertes en dollars et les décès au cours de la période de 1980 à 2017. a) Les barres bleu foncé indiquent le total des pertes assurées et les barres bleu pâle indiquent le total des pertes non assurées dans toutes les pertes liées aux conditions météorologiques dans le monde pour chaque année. Les barres combinées bleu clair et bleu foncé indiquent le total des pertes économiques dans toutes les pertes liées aux conditions météorologiques dans le monde pour chaque année. b) Cette figure illustre l’« écart de protection », c’est-à-dire la proportion des pertes assurées par rapport aux pertes économiques totales, mettant en évidence les pertes économiques générées par les catastrophes qui ne sont pas couvertes par une assurance.
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La figure montre les pertes annuelles assurées plus les frais de règlement (en dollars de 2018) à la suite de phénomènes météorologiques extrêmes au Canada pour la période de 1983 à 2018. La hauteur des barres indique le total des pertes et des dépenses liées à tous les phénomènes météorologiques extrêmes pour chaque année. La ligne bleue continue montre la tendance à la hausse estimée des pertes assurées plus les frais de règlement.
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Pertes annuelles assurées normalisées plus les frais de règlement (en dollars de 2018) résultant de phénomènes météorologiques extrêmes au Canada pour la période de 1983 à 2018. Les pertes sont normalisées selon l’approche utilisée dans Pielke et coll., 2008, Miller et coll., 2008, et Pielke et coll., 2003, qui corrige en fonction de l’inflation et des changements dans la population et la richesse au fil du temps. La hauteur des barres indique les pertes totales normalisées (orange) et les pertes réelles (bleu), plus les dépenses liées à tous les phénomènes météorologiques extrêmes pour chaque année. Les lignes continues montrent la tendance à la hausse estimée des pertes normalisées (orange) et des pertes réelles (bleu), plus les frais de règlement.
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a) Coûts sociaux annuels prévus et b) coûts du produit intérieur brut (PIB) pour la Ville d’Edmonton attribuables aux changements climatiques d’ici les années 2050 et 2080.
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Coûts annuels sociaux et du produit intérieur brut (PIB) prévus pour la Ville d’Edmonton, attribuables à différents niveaux de changements climatiques au-dessus de la normale climatique de 1981 à 2010.
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Cette représentation stylisée des avantages, des coûts et des dommages résiduels de l’adaptation en valeur actualisée (en dollars de 2016) suppose que les objectifs des décideurs sont les suivants : réduire les impacts négatifs et réduire au minimum le coût total des changements climatiques, pour neutraliser tous les impacts négatifs par l’adaptation et réduire les coûts résiduels à zéro. a) Scénario de référence prévu (fonction de dommages estimée avec les changements climatiques); b) Coûts sociaux estimés en valeur actualisée des changements climatiques dans le cadre du scénario de référence sans nouvelles mesures d’adaptation; c) Réduction estimée des coûts sociaux prévus avec de nouvelles mesures d’adaptation (c.-à-d. qu’elle définit les avantages en valeur actualisée de l’adaptation); d) Avantages nets estimés des mesures d’adaptation, une fois les coûts du cycle de vie des mesures pris en compte.
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Les éléments structurels impliqués dans l’évaluation des impacts des changements climatiques et de l’adaptation à ces changements.
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Voies d’adaptation mises au point par le projet Thames Estuary 2100 au Royaume-Uni pour faire face à l’élévation future du niveau de la mer. Cela comprend quatre ensembles d’options en matière d’adaptation, appelés « options de haut niveau » (HLO), pour faire face à différentes élévations possibles du niveau de la mer.
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Illustration des seuils, des délais d’exécution et des points de décision en matière d’adaptation dans le cadre du projet Thames Estuary 2100 au Royaume-Uni.
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Échéanciers de taux d’actualisation sociaux décroissants en pratique au Royaume-Uni et en France. La ligne rouge continue indique le taux d’actualisation social s’il était supposé constant dans le temps, tandis que la ligne bleue continue indique un échéancier de taux d’actualisation décroissants utilisés pour évaluer les politiques, programmes et projets publics dans chaque pays. L’échéancier du taux d’actualisation social pour le Royaume-Uni diminue par paliers discrets, passant de 3,5 % par an à 1 % par an. En France, le taux officiel commence à baisser après 30 ans, en suivant une trajectoire hyperbolique. Dans les deux pays, le taux d’actualisation à appliquer aux prestations de l’année 200 est inférieur au taux de l’année 100. En conséquence, un poids plus important est accordé au futur plutôt que d’appliquer un taux d’actualisation constant aux avantages pour toutes les années.
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Valeurs actuelles nettes des mesures d’adaptation les plus performantes pour chacun des 46 segments côtiers de 11 sites d’étude de cas au Québec et au Canada atlantique, classés de l’avantage économique élevé (à gauche) à l’avantage économique faible (à droite) de l’intervention.
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Répartition des mesures d’adaptation les plus performantes par catégorie d’intervention, d’après une analyse coûts-avantages de 46 segments côtiers dans 11 sites d’étude de cas au Québec et au Canada atlantique.
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La figure montre les rapports avantages-coûts estimés, soit les avantages en valeur actuelle divisés par les coûts en valeur actuelle, pour 60 mesures d’adaptation au Canada (voir l’annexe 6.4). Parmi les mesures envisagées, 75 % ont un rapport avantages-coûts supérieur à un, signifiant que les avantages dépassent les coûts encourus pour générer ces avantages (c.-à-d. qu’elles seraient typiquement considérées comme des investissements justifiables selon une perspective d’efficacité économique). Le fait que le rapport avantages coûts moyen non pondéré pour les 60 mesures est de 5,6, bien que le rapport avantages-coûts médian non pondéré soit de 1,5 a) montre les rapports avantages-coûts des différents types de mesures d’adaptation de l’échantillon, différenciés par secteur sensible au climat, et b) montre les rapports avantages-coûts de ces mesures, différenciés par catégorie de mesures d’adaptation : les mesures de « politique douce » (p. ex. le retrait planifié, l’amélioration de la lutte contre les organismes nuisibles, la planification flexible); les mesures reposant sur des méthodes d’ingénierie « douces » (p. ex. le rechargement des plages avec du sable, les toits verts); les mesures d’ingénierie « dures » (p. ex. les digues, les déversoirs, les ouvrages longitudinaux); et les mesures « combinées ».
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Le « potentiel réalisable » indique le niveau d’adaptation réalisable après la prise en compte des instruments destinés à surmonter les obstacles à la réalisation du « potentiel économique », ces instruments ayant eux-mêmes été soumis à un test coûts-avantages.
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Photo d’un paysage post-incendie qui risque de ne pas se régénérer : un site dans les Territoires du Nord-Ouest, un an après un feu de forêt en 2014. Ce site avait précédemment brûlé en 2004 et le court intervalle (10 ans) entre les feux a conduit à une absence totale de régénération des arbres. Le manque de régénération est attribué à l’absence de semis et de matière organique dans le sol avant le feu.
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Nombre de personnes évacuées à la suite de feux de forêt au Canada (1980‒2020). De nombreux facteurs, dont la fréquence des feux, leur ampleur et leur emplacement par rapport à la densité de population, influent sur le nombre de personnes évacuées. La Colombie-Britannique, l’Alberta et l’Ontario ont connu le plus grand nombre d’évacuations entre 1980 et 2020.
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a) Approche de l’incendie de Horse River à Fort McMurray, Alberta en 2016; b) Cartes indiquant la croissance de l’incendie de Horse River entre le 2 mai, 2016 et le 17 mai, 2016.
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Les encadrés sur la gauche présentent des données sur les anomalies de température à la surface de la mer (National Oceanic and Atmospheric Administration), y compris des informations provenant de satellites, de navires et de bouées amarrées et dérivantes. Les anomalies de température correspondent aux différences entre la température observée et la température moyenne à long terme (toutes deux en degré Celsius) pour un endroit donné. Les couleurs verte, jaune et rouge représentent des températures supérieures à la moyenne, tandis que les couleurs bleue et violette représentent des températures inférieures à la moyenne. Les encadrés à droite montrent les anomalies de température en fonction de la profondeur (en mètres) le long de la ligne P, comme indiqué dans les encadrés à gauche et commençant près de la côte sud-ouest de l’île de Vancouver, en Colombie-Britannique, et menant à la station océanique Papa (145° W, 50° N). Les couleurs sont délimitées par des incréments de 0,5 °C.
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Les résultats de cinq simulations pour la répartition et l’abondance du flétan du Groenland dans le golfe du Saint-Laurent. a) Données réelles de biomasse pour la période 1990–2013. b) Scénario impliquant uniquement le réchauffement. Les scénarios présentés dans les encadrés c), d) et e) impliquent le même niveau de réchauffement que dans l’encadré b), mais ce réchauffement s’accompagne de différents niveaux de diminution de la teneur en oxygène (c = 1 % de diminution, d = 2 % de diminution et e = 4 % de diminution). f) Scénario avec une baisse de 4 % de la teneur en oxygène, sans réchauffement. Les impacts du réchauffement seul (b) et du réchauffement accompagné d’une baisse de 4 % de la saturation en oxygène dissous (e) semblent similaires avec le codage couleur utilisé, bien que le réchauffement seul ait réduit les aires de haute densité de 49 %, alors que les deux facteurs de stress combinés ont provoqué une réduction de 57 %. Une diminution de l’oxygène dissous sans augmentation de la température ne réduisait la biomasse que de 2 %.
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Un homard américain au stade IV de développement sain élevé dans des conditions ambiantes (en bas) et une larve de homard déformée au stade IV de développement dans des conditions acidifiées (en haut). Le homard acidifié est plus petit et ses pinces ont été perdues en raison du stress environnemental.
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Principales méthodes de restauration utilisées au Canada. Les méthodes sont conçues pour traiter les problèmes critiques qui diffèrent selon les régions climatiques.
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Évolution du site minier de Lorraine, au Québec, restauré à l’aide d’une couverture avec effets de barrière capillaire. a) Avant la restauration, b) Après la restauration de 1998 et c) le site en 2007.
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Résumé des principaux changements climatiques attendus et de leurs implications pour les structures de retenue des déchets miniers et de restauration.
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Changements observés et prévus dans la capacité d’énergie renouvelable non hydroélectrique au Canada entre 2005 et 2040 selon le scénario de référence de l’Office national de l’énergie. Des taux de croissance plus élevés sont prévus selon un scénario technologique (l’Office national de l’énergie, 2018).
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Augmentation potentielle de la production d’hydroélectricité en Islande en raison de l’augmentation du ruissellement due aux changements climatiques et investissements supplémentaires dans les infrastructures.
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Infrastructure interconnectée à Mud Bay, Surrey, C.-B., soulignant la nécessité d’approches coordonnées pour faire face aux risques présentés par l’élévation du niveau de la mer et d’autres dangers.
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Comparaison de l’évolution de la durée de la saison de ski sur les marchés de l’Ontario, du Québec et de la Nouvelle-Angleterre avec une capacité de fabrication de neige avancée dans le cadre de scénarios à émissions moyennes (RCP4.5) et à émissions élevées (RCP8.5) pour les années 2050 et 2080. La situation de référence correspond à la période 1981‒2010.
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Le navire de croisière Hanseatic arrivant à Pond Inlet, NU, vers 2005.
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Résultats de l’enquête sur la perception des risques mondiaux du Forum économique mondial (2019–2020). Les risques sont classés sur une échelle de 1 à 5 selon la probabilité perçue et l’impact perçu. Les risques environnementaux se classent parmi les plus élevés, aussi bien en termes de probabilité que d’impact.
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Principaux éléments des recommandations en matière de divulgations relatives aux changements climatiques.
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Suivi mondial des flux de financement liés aux changements climatiques par les acteurs privés et publics en milliards de dollars (USD). a) Moyennes sur deux ans des contributions des acteurs privés au financement lié aux changements climatiques par rapport aux acteurs publics au cours de la période 2013–2018. b) Répartition du financement moyen lié aux changements climatiques sur deux ans (2017–2018) entre les acteurs privés et les acteurs publics, et par secteur.
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Sinistres assurés annuellement liés aux risques naturels au Canada, en millions de dollars de 2018.
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Provinces et territoires canadiens comptant des demandeurs dans des litiges en cours reliés aux changements climatiques en date du 30 septembre 2020.
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a) Émissions mondiales annuelles de CO2 provenant de l’utilisation de combustibles fossiles et de la production de ciment pour la période 1810–2017 (bleu foncé) et attribuées à 103 grands producteurs de carbone (bleu pâle). b) Pourcentage des émissions mondiales de CO2 pour la période 1751–2017 produites par les grands producteurs de carbone (orange) par rapport aux émissions non attribuées (bleu pâle).
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Exemples de l’exposition du Canada aux impacts indirects des changements climatiques aux dimensions internationales.
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Facteurs mondiaux des changements dans le milieu marin arctique.
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Carte des routes maritimes de l’Arctique.
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Résumé du processus de recherche utilisé par Dawson et coll. (2016) pour définir des stratégies d’adaptation prometteuses pour le tourisme lié aux bateaux de croisière dans l’Arctique canadien. La technique Delphi repose sur la sollicitation itérative et structurée d’experts pour produire des jugements consensuels.
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a) Profils migratoires des principaux groupes de stocks de saumon quinnat (Oncorhynchus tshawytscha). Source : Adapté de National Marine Fisheries Service, 2019. b) Captures moyennes régionales de saumon quinnat (Oncorhynchus tshawytscha) pour la période allant de 2009 à 2017 dans le cadre des pêches gérées par le Traité sur le saumon du Pacifique. Les valeurs dans les graphiques à secteurs représentent la proportion pour chaque région de stock principal de saumon quinnat capturé par des entités de pêche individuelles (moyenne à l’échelle des stocks régionaux), et ne comprennent pas les échappées.
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Carte des changements prévus dans la répartition des espèces de poissons représentatives ciblées par le commerce transfrontalier des pêches américaines et canadiennes d’ici 2050 dans un scénario d’émissions élevées, par rapport à 2014. L’échelle de couleur indique les changements prévus en parts de capture dans la zone économique exclusive (rouge = déclin; violet = croissance). Les flèches sur la carte représentent la direction des changements dans la répartition pour ces cinq principales espèces de poissons.
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Impacts projetés des changements climatiques pour les principaux bassins versants partagés entre le Canada et les États-Unis.
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Classifications historiques et projetées pour le bassin versant du fleuve Columbia, basées sur les scénarios d’émissions mondiales (le scénario A1B d’émissions relativement éleveés et le scénario B1 de faibles émissions) pour les années 2020, 2040 et 2080. Au fur et à mesure que les changements climatiques progresseront, le Canada devrait posséder 50 % de la capacité total du réservoir. Le Canada devrait également avoir une portion de plus en plus dominante de l’eau naturelle stockée sous forme de neige accumulée.
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Rendement commercial du Canada en 2018. a) Valeurs des exportations (bleu pâle) et des importations (vert) de marchandises, par secteur. b) Valeurs des exportations (bleu pâle) et des importations (vert) de marchandises en milliards de dollars, par partenaire commercial ou région commerciale.
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Principaux facteurs contribuant à l’augmentation des prix mondiaux des denrées alimentaires, à partir d’un indice des prix fondé sur quatre cultures (blé, riz, maïs et soja). a) Indique l’évolution des prix des cultures pour la période de 2002 à 2011 (ligne verte) et indique les facteurs à long terme et à court terme qui contribuent aux changements de prix au fil du temps. Des équilibres plus serrés entre l’offre et la demande (comme le montre le ratio stocks‑utilisation de la Bourse mondiale), et entre la croissance économique et la récession, par exemple, deviennent la toile de fond des phénomènes météorologiques et des politiques commerciales. b) Évolution des prix des récoltes entre mai 2010 et avril 2011en fonction des phénomènes météorologiques qui ont entraîné des déficits d’approvisionnement. Tant les conditions humides que sèches qui n’étaient pas limitées à une seule région du monde ont contribué à réduire l’offre mondiale de cultures.
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Effets en cascade de la migration rurale à urbaine induite par l’environnement dans les pays les moins développés.
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Structure proposée pour la mise en commun des risques à l’échelle municipale, projet dirigé par l’Université du KwaZulu-Natal.